Un patient tétraplégique joue aux échecs par la pensée grâce à un implant cérébral Neuralink

Premier patient de l’implant cérébral Neuralink, Noland Arbaugh, 29 ans et tétraplégique, peut désormais jouer aux échecs en contrôlant l’ordinateur par la pensée.

Premier patient de l’implant cérébral Neuralink, Noland Arbaugh, 29 ans et tétraplégique, peut désormais jouer aux échecs en contrôlant l’ordinateur par la pensée.

Échec et mat contre la fatalité ! Aux États-Unis, l’entreprise Neuralink, fondée par Elon Musk, travaille depuis plusieurs années sur un implant cérébral qui serait capable de redonner un semblant d’autonomie pour les personnes paralysées.

Neuralink a diffusé en direct une vidéo du premier patient ayant reçu une puce de l’entreprise. On le voit s’adonner à une partie d’échecs et contrôler ses pions par la pensée.

Jouer aux échecs sans bouger d’un iota

Neuralink, l’une des sociétés d’Elon Musk, dévoile l’identité du premier patient ayant reçu un implant de sa fabrication. Noland Arbaugh, 29 ans, a été victime d’un accident de plongée qui l’a rendu tétraplégique. Paralysé depuis huit ans, le jeune homme, que l’on voit apparaître dans une vidéo publiée sur X par l’entreprise, indique que l’opération s’est bien passée et remercie Neuralink. L’individu se dit convaincu que le travail de la start-up va changer le monde.

«C’est tellement cool !» Neuralink, une start-up du milliardaire Elon Musk a diffusé une vidéo dans laquelle un patient tétraplégique explique jouer aux échecs par la pensée sur son ordinateur au moyen d’un implant cérébral, ce mercredi 20 mars. Noland Arbaugh, 29 ans, tétraplégique depuis un accident de plongée, raconte jouer aux échecs et au jeu vidéo «Civilization» ou encore prendre des cours de japonais et de français grâce à un implant cérébral qui lui permet, seul, de contrôler la souris d’un ordinateur.

“Tu vois ce curseur sur l’écran ? C’est moi… C’est grâce à mon cerveau. C’est plutôt cool” s’exclame Noland, enthousiaste à l’idée de pouvoir jouer aux échecs par la force de sa pensée. Le premier patient de l’implant cérébral Neuralink a été opéré il y a deux mois pour recevoir l’implant, et il peut désormais évaluer son potentiel d’action : “Je veux remercier Neuralink pour ce travail, je pense que ça va changer le monde”.

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