Le portrait d’une adolescente haïtienne en Guyane. « Lovena » est le premier court-métrage du réalisateur guyanais Olivier Sagne. Lovena, une jeune Haïtienne sans papiers et prodige des échecs se prépare à concourir dans un grand championnat international au Centre Spatial Guyanais. Mais pour y participer elle devra affronter plusieurs obstacles durant sa préparation.
Lovena et son coach – Photo © Kanopé Films, Bear Team Production
Lovena est une jeune Haïtienne sans papiers qui vit en Guyane. À l’âge de treize ans, elle vient d’être sacrée championne d’échecs. Elle s’apprête à représenter son pays d’adoption dans une compétition internationale. Sa prochaine adversaire n’est autre que la championne du Brésil. Or, la préparation de ce duel sera ponctuée d’événements inattendus qui vont la pousser dans ses retranchements.
À travers l’histoire de cette adolescente, le film montre le quotidien des migrants haïtiens en Guyane. Le film montre les difficultés que rencontre Lovena, issue d’une famille modeste et aborde par ce biais les problèmes d’intégration des immigrés.
Le casting est presque uniquement composé de comédiens amateurs hormis l’acteur guyanais Ricky Tribord.
Le réalisateur
Olivier Sagne a travaillé pendant près de dix ans en tant qu’assistant réalisateur sur les plateaux de télévision et de cinéma. Il s’est forgé une solide expérience dans les coulisses de longs-métrages aux côtés de metteurs en scène aux univers singuliers : Yassine Qnia, Albert Dupontel, Antonin Peretjatko ou encore Rebecca Zlotowski…
Sa première réalisation autoproduite a été remarquée par un journaliste des Cahiers du Cinéma au cours du Festival Cinamazonia. Qualifié de « prometteur », son vécu dans un quartier populaire de Guyane, ses origines haïtiennes et son imaginaire convergent à travers le portrait de Lovena, une œuvre sociale et engagée.
Le portrait de cette jeune prodige des échecs en situation irrégulière a été chaleureusement accueilli dans plusieurs festivals internationaux.
Affiche du court-métrage « Lovena » – Photo ©Kanopé Films, Bear Team Production
Une équipe de Guyane La 1ère avait rencontré Olivier Sagne et son équipe durant le tournage de Lovena :
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Réalisation : Olivier Sagne
Production : Kanopé Films, Bear Team Production
Distribution : Esther Joseph (Lovena Francilus), Modeste Jean-Gilles (Ronald Gustinvil), Marie-Marcelle Louis (Philomène Francilus)
Langues : français, créole haïtien
Durée : 29 min • 2020
L’article complet sur France TV
Comment les échecs stimulent l’activité cérébrale
Le jeu d’échecs participe à la stimulation cognitive et au développement de la réflexion, la prise de décision éclairée. Le jeu d’échecs exerce la pensée logique et la concentration, la structuration spatiale, la compréhension, le vocabulaire et l’argumentation, l’anticipation de mouvements et contre-mouvements, la planification de stratégie, la capacité numérique, la capacité de raisonnement déductif, inductif et analogique, la mémoire visuelle, les compétences analytiques, la capacité à résoudre des problèmes complexes (réfléchir, penser, comprendre, analyser, calculer, prendre une décision) et ce dès le plus jeune âge.
Est-ce que les échecs augmentent le QI ?
Boost cognitif : Jouer régulièrement aux échecs peut améliorer certaines compétences cognitives, quel que soit le niveau de départ du joueur. Accessibilité : Les échecs, en tant que jeu, sont accessibles à tous, indépendamment du niveau d’intelligence. Ce qui importe, c’est la passion, la pratique et l’engagement.
Quels sont les bienfaits des échecs ?
Un développement de l’esprit logique. Le jeu d’échecs améliore l’esprit logique parce qu’un problème d’échecs s’aborde comme un problème de mathématiques. Il faut analyser les données et structurer sa pensée pour élaborer un plan d’action.
Quelles sont les qualités d’un bon joueur d’échecs ?
Capacité de calcul, esprit d’analyse et de synthèse, bonne mémoire à long terme.. Et aussi : vivacité d’esprit dans les parties rapides, pensée stratégique dans les parties longues. Concentration, calme, attention, anticipation, abstraction, calcul et détermination.
Pourquoi aux échecs les blancs commencent ?
Le plus grand nombre de joueurs choisissaient la couleur noire. Elle portait chance ! Ainsi, pour « compenser », les Blancs avait le trait (commençaient la partie les premiers).
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Ceci est de la politique déguiser , désolé je ne cautionne pas l’immigration , quand bien même elle soit joueuse d’échecs . Votre blog soutiens la politique Macronniste , désolé non , trop d’immigration , 3 milliard donné a l’ukraine , rien pour les agriculteurs , on veut obliger certains chômeurs percevant les minima-sociaux ( RSA ) a travailler 15 heures par semaine , Travail d’intérêt général , ce qui sous entend que certains chômeurs sont considérés comme des délinquants .