Une symphonie échiquéenne à la Une de la chronique hebdo de notre ami Samir Adyel en Polo Chess & Strategy.
Au café des délices – Patrick Bruel
La chronique hebdomadaire d’échecs du journal Paris Normandie, un voyage dans le monde des cases blanches et noires, raconté avec passion chaque vendredi par Samir sur notre site échiquéen.
Au sommaire cette semaine, un mat en 2 coups signé M. Lipton & B. P. Barnes paru dans le Die Schwalbe de 1963. Puis, une symphonie
échiquéenne. Le n° 1 mondial Magnus Carlsen est à peine âgé de 20 ans. Son
classement Elo culmine à 2814 points. De quoi donner le vertige à ses adversaires.
Devant l’échiquier, le norvégien est comme un… saumon dans l’eau. Tout paraît fluide chez ce jeune prodige. On le surnomme le Mozart des échecs. Dans le tournoi Tata Steel qui se déroule actuellement aux Pays-Bas, il a joué une partie majeure contre
l’américain Nakamura. Son attaque limpide ne comporte aucune fausse note et son style appassionato enchante l’esprit. Place donc au Maestro et à la mélodie des coups !
Leçon de technique avec une finale instructive dans la partie Shirov (2722) – Grischuk (2773) du dernier tournoi de Wijk aan Zee.
Intermède culturel avec une citation de Fédor Dostoïevski, le écrivain russe, 1821-1881. Et pour finir ce festin de Roi, un piège d’ouverture sur la Défense Owen. Merci Samir !