Étiquette : santé
Sciences cognitives : la stratégie du joueur
Les joueurs d’échecs expérimentés et les novices se distinguent par leur découpage visuel de l’échiquier. Un grand maître d’échecs regarde « entre les pièces » selon les travaux d’André Didierjean, de Vincent Ferrari et d’Évelyne Marmèche, du Laboratoire de Psychologie Cognitive de l’Université de Provence, à Aix-en-Provence. Les joueurs d’échecs, d’Honoré Daumier. Il y a un siècle et demi, les maîtres d’échecs utilisaient-ils déjà des « chunks » et des « templates » pour analyser le jeu? Comment un grand maître d’échecs peut-il jouer en simultané de nombreuses parties et les gagner, jouer des parties « en aveugle » sans voir les échiquiers, ou battre des ordinateurs dont la puissance de calcul excède très largement ses capacités cérébrales ? A-t-il une intelligence hors du commun ? Une mémoire surhumaine ? Apparemment non. Récemment, l’imagerie cérébrale a révélé que l’activité cérébrale des spécialistes ne diffère pas notablement de celle des novices….
Faire échec et mat à l’Alzheimer
Notre sélection de jeux/livres/
Les découvertes de la chronobiologie par Michael Breus
Quand faut-il se lever, se coucher, manger, ou encore jouer aux échecs pour optimiser bien-être, santé et performances ? Dans son ouvrage intitulé « Quand ? » publié aux éditions Belfond, l’Américain Michael Breus classe l’humanité en quatre chrono-types – lion, ours, loup et dauphin – et donne le bon moment pour tout type d’activités. Psychologue clinicien et habitué du très populaire talk-show médical « The Doctor Oz Show », Michael Breus est connu aux Etats-Unis comme le « sleep doctor ». Depuis plusieurs années, ce spécialiste du sommeil s’est passionné pour la chronobiologie. Un constat. Nous passons beaucoup de temps à nous demander « comment on fait telle chose » ou « pourquoi on doit la faire ». Mais on regarde notre agenda que très rarement pour se demander quand c’est le meilleur moment pour le faire. Ainsi, le Docteur Michel Breus s’est penché sur le « bio-time »,…
Les 10 raisons de jouer aux échecs selon Michel Cymes
Dans son dernier livre intitulé Votre cerveau – en tête du classement des ventes – Michel Cymes promeut la pratique des échecs ! Les échecs vont vous réussir… selon Michel Cymes, le médecin le plus médiatique du paysage audiovisuel français. A écouter ici Il y a sport et sport… En voici un, cérébral, excellent pour qui se préoccupe de sa santé mentale. Oui, le jeu d’échecs fait fonctionner le cerveau. On peut y jouer contre un adversaire ou seul, à condition de disposer d’un jeu d’échecs électronique. Pour quelques dizaines d’euros, la version électronique présente l’avantage de s’adapter à votre niveau et de vous faire progresser de manière spectaculaire. Elle vous permet aussi de suspendre une partie pour la reprendre quand bon vous semble. Voici 10 bonnes raisons d’apprendre que le fou se déplace en diagonale et que la reine est plus balèze que le roi, ce qui fera plaisir…
Pour Michel Cymes, les échecs c’est bon pour le mental et le physique
Dans son dernier livre sur le cerveau, le médecin le plus médiatique du PAF veut nous convertir aux subtilités de la diagonale du fou. Pour réécouter Michel Cymès sur RTL : A écouter ici Le Comité olympique considère le jeu d’échecs officiellement comme un sport de l’esprit depuis près de vingt ans, même si les échecs ne figurent pas encore au programme des JO. Cette discipline permet de muscler le cerveau, même si celui-ci n’est pas un muscle mais un organe. Ce jeu de société fait travailler notre cerveau. D’abord en obligeant à la réflexion. Tout joueur d’échecs apprend rapidement qu’il faut y réfléchir à deux fois avant de déplacer une pièce. En cas d’erreur, la sanction est immédiate. Par ailleurs, la finalité est toujours la même : il faut éviter de se faire manger le roi, la pièce maîtresse par excellence. Pour la protéger, il faut parfois sacrifier d’autres…
Champion d’échecs : une question d’intelligence, pas que d’entraînement
L’ENTRAINEMENT EST-IL SUFFISANT POUR DEVENIR UN BON JOUEUR D’ÉCHECS ? ARTICLE DE JEAN-LUC GOUDET POUR FUTURA-SCIENCES A gauche, Zach Hambrick, professeur de psychologie de l’Université du Michigan, et Alexander Burgoyne, son étudiant diplômé, discutent de la corrélation entre le niveau aux échecs et l’intelligence – Photo © G.L. Kohuth Non, affirment des chercheurs venus de trois pays qui ont réalisé une méta-analyse englobant 1.800 personnes. Les bons résultats à ce jeu sont corrélés à de bonnes performances dans des tests cognitifs, constatent-ils. L’expérience des 3 sœurs Polgar La question de la relation entre intelligence et talent au jeu d’échecs est posée depuis longtemps. Le Hongrois László Polgár s’est imposé dans le débat d’une manière originale. Ce théoricien des échecs a éduqué ses trois filles, nées à la fin des années 1970, avec un entraînement intensif, entendant démontrer ainsi que le génie n’est pas inné, à ce jeu comme ailleurs. De…
Echecs & Mémoire : entretenir son cerveau
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Les pouvoirs de votre cerveau
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