La crise géorgienne est à étudier dans le cadre plus vaste d’un grand jeu mondial dont les ramifications n’apparaîtront avec certitude que des années plus tard, lorsque les historiens auront accès aux archives.
En attendant, nous en sommes réduits aux conjectures, à imaginer de belles histoires au gré des informations fournies par la presse.
Le jeu d’échecs planétaire
Pour l’instant, le jeu d’échecs se singularise par son aspect multicolore, mais les joueurs qui s’affrontent n’ont pas les mêmes objectifs : certains cherchent le triomphe d’une seule couleur, d’autres cherchent le nul. Chaque joueur possède son propre timing. A ce stade, trois grands joueurs dominent la partie. Ils développent des stratégies, possèdent des pièces maîtresses et les jouent sur l’échiquier. Ce sont les Etats-Unis, la Chine et la Russie.
et si on remplace Géorgie par Afghanistan, Irak, Congo … Pétaouchnok, ça change quoi à la position ?
c’est ce que l’on appelle un article générique non ? et contrairement aux médicaments du même nom, ça ne sert à rien.
Une phrase à retenir: »les ramifications n’apparaîtront avec certitude que des années plus tard, lorsque les historiens auront accès aux archives. «
C’est vrai donc inutile d’en parler maintenant si on a rien à dire.