Nous sommes déjà entrés par la grande porte du jeu de la loterie. A côté d’elle, à l’échelle nationale, existent bien d’autres moyens qui permettent de passer le temps agréablement ou de manière vraiment plus stressante. Le jeu a une histoire. Profite-t-il à nous mêmes ou est-ce pour un profit bien plus commun, plus trouble aussi?
L’histoire du jeu remonte vraiment à l’apparition de l’homme. D’abord très simple, le jeu s’est très vite complexifié pour grimper le jeu au niveau du culte, de la passion, de l’abrutissement, quitte à en devenir stressant.
Dérivatifs des esprits troublés par une situation difficilement supportable psychologiquement, les jeux de société, les jouets ne sont que le reflet de la réussite ou de l’inconfort de nos sociétés. Beaucoup de petites histoires, de légendes tournent autour des jeux.
Les Égyptiens auraient inventé une forme primitive du jeu de l’oie, les Grecs, les dames, l’Orient, les échecs, les Américains, le Monopoly en 1935, …
Un excellent article philosphique à découvrir sous la plume de Guy alias l’enfoiré.