La réussite par les échecs L’utilisation du jeu d’échecs dans le cursus scolaire, si possible avant l’âge de 9 ans, permet d’améliorer clairement les résultats scolaires, selon la Kasparov Chess Foundation Europe, qui dispose de données d’écoles du monde entier dans ce sens, publiques comme privées, aux pédagogies traditionnelles ou modernes.
Garry Kasparov, le Directeur de la Kasparov Chess Foundation Europe, a réussi son nouveau combat pour les échecs. Il a défendu les atouts du jeu d’échecs en matière d’éducation et de culture à Strasbourg. Le noble jeu a franchi le 13 mars 2012 un nouveau pas dans l’intégration aux programmes scolaires de l’Union Européenne. Pour l’Union européenne, le jeu d’échecs n’est pas seulement un sport, il doit être partie intégrante de l’éducation moderne. Le programme « Chess in School » (« Le jeu d’échecs à l’école »), porté par l’ancien champion du monde Garry Kasparov, vient d’être adopté par le Parlement européen.
Converti à la politique, Garry Kasparov n’en a pas moins gardé son bâton de pélerin de serviteur et de pédagogue des échecs. L’ancien champion du monde (de 1985 à 2000), président de la Kasparov Chess Foundation Europe, vient de convaincre les députés européens de soutenir le programme ‘Chess in school’, afin de donner aux enfants « un avenir plus brillant ». Parce que les échecs améliorent la concentration et la prise de décision, explique-t-il, ils rendent les enfants plus autonomes et favorisent la socialisation. Ils contribuent à lutter contre les discriminations, puisqu’ils sont accessibles à tous.
Pour en savoir plus : La Kasparov Chess fundation – La chronique de France Info