Avec les échecs, attention aux métaphores paresseuses

À l’initiative de « L’Équipe », Jean-Philippe Toussaint, auteur de « L’Échiquier » où il se dévoile notamment à travers sa passion pour les échecs, a rencontré Laurent Fressinet, joueur professionnel et grand maître international. Un échange passionné.

Laurent Fressinet et Jean-Philippe Toussaint, face à face pour « L'Equipe » - Photo S. Mantey

Laurent Fressinet et Jean-Philippe Toussaint, face à face pour « L’Equipe » – Photo S. Mantey

Dans L’Échiquier (éd. de Minuit) paru à la rentrée, Jean-Philippe Toussaint raconte notamment que si son père ne lui a jamais laissé la possibilité de le battre aux échecs dès lors qu’il a compris que son fils en avait les capacités, il lui a en revanche donné « la permission » de devenir écrivain.

S’il a délaissé sa passion de jeunesse pendant quelques années, le Belge de 65 ans, devenu auteur à succès, propose un « vagabondage » dans les méandres de ses souvenirs où le jeu d’échecs occupe une large place au fil de 64 chapitres, comme le nombre de cases sur un échiquier.

L’intégralité de l’article à découvrir dans l’Equipe

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