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Niveau Fort ★★★ Les Blancs jouent et matent en 7 coups
(Voir notre exercice précédent)
L’exercice du jour est tiré d’une partie d’échecs remportée par Suat Atalık, un grand maître turc du jeu d’échecs né en 1964 à Istanbul.
Né en Turquie, Suat Atalık a fréquenté le Lycée de Galatasaray puis a étudié la psychologie à l’Université du Bosphore. Il a représenté son pays au championnat du monde junior en 1983 et a défendu le premier échiquier au cours de plusieurs olympiades. De 1984 à 1986, Suat Atalik a représenté la fédération française dans les listes de la Fédération internationale des échecs, avant de rejoindre la fédération turque de 1987 à janvier 2000. En raison d’un différend avec sa fédération, il a émigré en Bosnie-Herzégovine. En 2000, il a souhaité défendre son pays d’accueil à l’olympiade d’Istanbul, mais a essuyé un refus de la part des organisateurs. Après un changement au sein de la fédération turque, il a joué à nouveau pour la Turquie en compétition internationale. (Source Wikipedia).
La partie d’échecs : Suat Atalik vs Jean Lamothe, Dubai, 1986
Comment choisir ses ouvertures ?
Voilà une question sur laquelle bien des joueurs d’échecs se torturent les méninges. Ce qu’il faut comprendre, c’est que toutes les ouvertures répandues sont bonnes et parfaitement jouables, notamment au niveau amateur
Par conséquent, il est parfaitement vain de consacrer des heures à se demander quelle est la meilleure ouverture aux échecs, ou à chercher l’ouverture parfaite. Elle n’existe probablement pas, et même si c’était le cas, jouer cette ouverture plutôt qu’une autre ne changerait quasiment rien
En réalité, le joueur moyen n’a pas besoin de tout savoir sur les ouvertures qu’il pratique. Du moment qu’il comprend les grands objectifs du système, qu’il connaît quelques plans typiques et deux ou trois grandes variantes, il est paré pour la bataille. Il s’ensuit que le choix de telle ou telle ouverture en particulier ne change pas grand-chose. Souvent, c’est la question du style de jeu qui pose problème : chacun se demande s’il est un joueur tactique ou positionnel, puis cherche à trouver des systèmes qui correspondent à ce qu’il croit être son style. La réalité, bien sûr, c’est qu’en deçà du niveau maître, il est probable que le joueur n’a pas de style particulier. Peu importe donc qu’il joue une ouverture tranchante ou un système tranquille. La plupart des ouvertures classiques sont suffisamment souples pour être traitées de façon différente
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