Scoop sur Le Monde au sujet des soupçons de triche dans les échecs français. Après le communiqué de la FFE, Laurent Verat, son Directeur Général évoque un ordinateur de poche… kangourou !
La Panthère rose – Henry Mancini
Maître Founiasse scotché à la lecture du Monde © Chess & Strategy
Extraits de l’article d’Hélène Bekmezian sur le Monde.fr
« Le joueur d’échecs tel que nous nous l’imaginons est un personnage noble et sérieux, plus intelligent que la moyenne des gens et très concentré sur son échiquier devant lequel il passe des heures, calculant coup après coup pour finalement déplacer son pion d’une case en avant. Mais savez-vous que le joueur d’échecs peut aussi être celui qui va s’enfermer aux toilettes douze fois dans une partie pour aller consulter une anti-sèche préalablement cachée dans son slip ? «
Laurent Verat nous explique pourquoi tricher aux échecs est possible
« Tricher aux échecs ? L’idée peut paraître surprenante : comment aider des joueurs qui a priori sont les meilleurs de leur pays ? Aujourd’hui, « certains logiciels que l’on peut trouver sur le marché à 100 euros sont du même niveau que les champions du monde d’échecs, voire meilleurs », explique Laurent Verat, directeur général de la Fédération française d’échecs (FFE) ».
Et quand il faut calculer des dizaines de coups en avance et autant de probabilités, l’assistance d’un ordinateur capable de faire ce genre de calcul en une nanoseconde peut être utile. « Le joueur peut avoir une aide extérieure et on peut tout imaginer : qu’il ait une oreillette, un téléphone, que quelqu’un lui fasse des signes… Il peut tout aussi bien avoir un Palm dans le slip ou la chaussette qu’il irait consulter aux toilettes », détaille Laurent Verat…
Pour en savoir plus : Notre précédent article
