Les échecs et la Banque auraient-ils des affinités ? C’est ce qu’a compris BNP Paribas en soutenant notre sport. Zoom ce matin sur un success story ou plutôt une Suchess Story à la Française autour du jeu d’échecs.
Someone like you – Adele
Henri Dehry, directeur du groupe des agences BNP Paribas de Nice et de Corse © BNP Paribas
Comment tout a commencé : Fils d’un employé d’assurances et d’une fonctionnaire de La Poste, Henri Derhy a grandi à Garges-lès-Gonesse (Val-d’Oise), dans la cité de la Dame Blanche, et commencé à jouer aux échecs à l’âge de 7 ans. Pour son anniversaire, ses grands-parents lui avaient offert une boîte de 24 jeux (petits chevaux, dames…), il n’a aimé que les échecs. Au lycée, il a remporté le titre de vice-champion de France. » Il faut imaginer des combinaisons, réfléchir et, surtout, il n’y a aucun hasard : pas de cartes, pas de dés, tout dépend de vous et de vous seul « , dit-il. ça lui ressemble.
Henri a été embauché chez BNP-Paribas juste après son service militaire, à l’âge de 23 ans, en tant que coursier dans un groupe d’agences de Sarcelles. Il n’a pas fait d’études, il a grimpé les échelons un à un : il a été caissier, puis conseiller clientèle, inspecteur, responsable de la gestion et des ressources humaines de plusieurs agences à Paris, directeur commercial… Aujourd’hui, il est directeur du groupe des agences BNP-Paribas Nice et Corse, il dirige 39 agences et 330 collaborateurs. » C’est le même principe aux échecs : tout le monde est à égalité, quels que soient sa corpulence, son éducation, ses ressources, son âge ou son genre. Tout est une question de persévérance « , martèle Henri, qui se bat pour développer les échecs dans les écoles.
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