Ode à Caïssa, la déesse ou la muse tutélaire du jeu d’échecs

Rejouer cette magnifique partie d’échecs

Son nom semble apparaître pour la première fois en 1763 dans un poème du grand orientaliste anglais sir William Jones (1746-1794), Caïssa, or the Game of Chess, où Caïssa est présentée comme une nymphe grecque qui aurait inventé le jeu d’échecs et qui en aurait fait présent aux hommes.

Caïssa

Extrait du poème :

« And fair Caissa was the damsel nam’d.

Mars saw the maid ; with deep surprize he gaz’d,

Admir’d her shape, and every gesture prais’d.

His golden bow the child of Venus bent,

And through his breast a piercing arrow sent. »

Cadeau pour nos jolies lectrices et gentils lecteurs :

Revivez avec ce clip musical, l’intensité dramatique d’un exploit échiquéen au sommet des Pyramides de Port-Marly. Cette partie, jouée samedi 30 Mai 2009 dans le cadre du Top 16, mettait aux prises deux fidèles serviteurs de la déesse Caïssa.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *