Jouez à la question du mercredi sur les échecs

Qui est ce champion d’échecs, inventeur d’une variante de la Sicilienne jouée notamment par Bobby Fischer et Garry Kasparov ?

Jouez à la question du mercredi sur les échecs

Né en 1910 à Grodzisk Mazowiecki, près de Varsovie, et décédé en 1997 à Malaga, ce joueur d’échecs d’origine juive polonaise a obtenu la nationalité argentine pendant la Seconde Guerre mondiale. Il suivit d’abord les cours de David Przepiórka, puis de Xavier Tartakower, auquel il s’est toujours référé comme « mon maître ». Au début de sa carrière, en 1929, il bat Glücksberg dans une partie d’échecs célèbre connue comme L’Immortelle polonaise.

Il se réfugie en Argentine pour fuir la Shoah

En septembre 1939, l’éclatement de la Seconde Guerre mondiale le retient à Buenos Aires, où il participait à la 8e Olympiade, représentant la Pologne au deuxième échiquier. Juif polonais, tout comme deux autres membres de l’équipe, Tartakover et Frydman, il comprit ce qui était en train de se passer en Pologne et décida de rester en Argentine. De nombreux joueurs, juifs ou non, en firent de même, perdant ainsi leurs liens familiaux et personnels, mais échappant ainsi à la Shoah. Il obtient cependant de brillants résultats au 2e échiquier à Buenos Aires (+12 -2 =4). Plus tard, sa série de victoires en tournoi de 1939 à 1947 l’a propulsé au sommet de la hiérarchie mondiale. Selon Chessmetrics, il était le 2e joueur du monde au début de l’année 1948 mais est cependant exclu du championnat du monde d’échecs 1948.

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Personnalité très attachante dans le monde des échecs

Sa personnalité vive avait fait de lui l’un des joueurs d’échecs les plus populaires, et il est probable qu’à l’instar de son mentor, Tartakover, ses mots d’esprit y soient également pour quelque chose. Il remarque par exemple, après le match de 1970 : « Quand Boris Spassky vous offre une pièce, vous feriez bien d’abandonner sur le champ. Mais quand Mikhail Tal offre une pièce, il vaut mieux continuer à jouer, car il pourrait vous en offrir encore une, puis une autre, et qui sait ? ». (Source Wikipedia)

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