Oublier ses clés, le nom d’une personne qu’on vient de rencontrer ou ne plus se rappeler où l’on a rangé ses lunettes: plus on vieillit, plus la mémoire flanche.
Ces petits désagréments, aussi appelés troubles de la mémoire liés à l’âge (TMLA), ont été le lot d’un baby-boomer canadien sur 10 l’an dernier, selon un sondage IPSOS effectué pour le compte de la Fondation d’Alzheimer pour les proches aidants. Environ une personne sur trois âgée de 60 à 78 ans serait affectée par les TMLA.
Pour se maintenir alerte et vif d’esprit, plusieurs exercices d’entraînement sont indiqués :
- avoir une alimentation saine,
- faire de l’exercice,
- minimiser le stress,
- faire des mots croisés,
- jouer aux échecs
- et apprendre une nouvelle langue.
On ne peut pas conclure que jouer aux échecs ou au sudoku prévient quoi que ce soit, mais il est vrai que, dans certains cas, la réserve cérébrale, soit la capacité à s’adapter au changement et au vieillissement, soit meilleure chez ceux qui pratiquent ces activités, a soutenu le Dr Gauthier, qui s’intéresse aux approches de traitements «sans pilules».
l’article complet de La Presse Canadienne Montréal