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La marque néerlandaise de vêtement G-Star a profité du salon international de la mode urbaine Bread & Butter pour dévoiler le nom de son égérie masculine de sa prochaine campagne de pub. Complètement inconnu du monde de la mode, le futur modèle détonne par contre dans un autre domaine pour le moins inattendu, les échecs. La Panthère rose Bien connu des lecteurs de Chess & Strategy, il s’agit de Magnus Carlsen, le champion d’échecs d’origine norvégienne classé n°1 mondial au Elo Fide de 2 826. Ce joueur atypique et surdoué a d’ailleurs été surnommé le « Mozart des échecs » par Lubomir Kavalek, un autre grand maître international. Le choix de G-Star de faire de Magnus Carlsen, inconnu du monde de la mode, son égérie de sa prochaine campagne de communication a surpris beaucoup de monde quand on sait que les professionnels de la mode hésitent très souvent de porter l’attention sur…

Echecs et Mode se conjuguent ! La marque de vêtements G-Star créée en 1989, dont le siège social se situe à Amsterdam, poursuit son repositionnement en termes d’image. Après Liv Tyler pour booster les ventes de la mode féminine, c’est une nouvelle égérie que le photographe Anton Corbijn a capturé pour la marque néerlandaise. Et cette fois, elle est surprenante. La Panthère rose G-Star fait appel en effet au joueur d’échecs norvégien Magnus Carlsen. Pour la marque de jeans, il s’agit de refléter les contrastes de la mode. Cette combinaison de Liv Tyler avec le « mozart des échecs » reflète la philosophie de la griffe et les défilés où des jeans destroys se marient avec des vestes « classe ». Le magasin le plus important de G-Star se situe à New York. La marque est réputée aux États-Unis, mais aussi au Royaume-Uni et en France, particulièrement dans le milieu urbain. Profitez-en, c’est les…

Le photographe, inventeur, avec Doisneau et Cartier-Bresson, de la photographie humaniste et célèbre pour ses clichés du Paris d’après-guerre, s’est éteint samedi à Paris. Il avait 99 ans. Né en 1910 à Paris, d’un père juif ukrainien réfugié à Paris et devenu photographe de quartier et d’une mère lituanienne et pianiste, Willy Ronis se consacre d’abord à la musique, qu’il apprend auprès de cette dernière. Durant son enfance dans le 9e arrondissement de Paris, Ronis aide toutefois son père, qui lui donne les bases de la photo. Lire l’article complet du Figaro.