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Après l’arrestation samedi à Moscou de Garry Kasparov (photos Reuters), la répression s’étend dimanche à Saint-Petersbourg ! Hier, la police russe a réprimé une marche contre le président Vladimir Poutine. Près de 200 opposants ont été interpellés, dont le libéral, Boris Nemtsov. Un responsable de la police de Saint-Pétersbourg a confirmé «plusieurs dizaines d’interpellations», ajoutant que les tribunaux décideraient des sanctions contre eux, «amendes ou arrestations». D’après la radio Echo Moscou, une centaine de protestataires ont aussi été arrêtés en Ingouchie, république voisine de la Tchétchénie, où les autorités locales avaient interdit une réunion de l’opposition. Ouverture de la chasse Vladimir Poutine, tête de liste du parti Russie unie pour les législatives qui se dérouleront le 2 décembre, avait accusé, la semaine dernière, les opposants de préparer des «provocations» en «descendant dans la rue», les qualifiant de «chacals» en quête de financements étrangers. Ces arrestations marquent un durcissement du régime…

Selon l’agence Reuters, la police russe a appréhendé samedi 24 Novembre le dirigeant d’opposition et ancien champion d’échecs Garry Kasparov ainsi que plusieurs autres protestataires alors qu’ils manifestaient contre le président Vladimir Poutine. Des échauffourées ont éclaté entre policiers et manifestants dans le centre de la capitale après que quelque 3.000 personnes eurent tenté de marcher sur le siège de la commission nationale électorale. Le rassemblement était organisé par le mouvement L’Autre Russie, dirigé par Kasparov, qui regroupe des adversaires du Kremlin allant des anarchistes aux économistes libéraux. Un journaliste de Reuters a aperçu des policiers en civil embarquant Kasparov et d’autres manifestants sans ménagement dans des fourgons de police. Selon une porte-parole de l’opposant, il a été inculpé de troubles à l’ordre public et la police a dit qu’elle le maintiendrait en détention pendant cinq jours. Une soixantaine de personnes ont été interpellées, a ajouté la porte-parole. La police…

Garry Kasparov au Royal Monceau Après son passage télé au grand journal de Canal + la veille, l’ex-champion du Monde d’échecs et désormais leader politique de l’opposition au régime russe, Garry Kasparov donnait une conférence de presse au Royal Monceau à Paris. C’était ce mercredi 21 Novembre à 11h, avec au menu, la présentation de son combat politique contre Vladimir Poutine en Russie et la sortie en français chez JC Lattes de son nouveau livre “La vie est une partie d’échecs”. Garry Kasparov présente son nouveau livre France 2, France Inter, I-Tele, etc… tout le monde était là, pour un gros succès médiatique ! Notre ami Stéphane Laborde a assuré le reportage et les photos pour Sud-Ouest et Chess & Strategy. Merci Stéphane ! Les liens utiles: En savoir plus sur son dernier livre “La vie est une partie d’échecs“-> ICI Un reportage sur le site de la FFE ->…

A ne pas manquer à 19h30 ! En savoir plus sur son dernier livre “La vie est une partie d’échecs”-> ICI

Vient de sortir le 17 octobre – en français et aux éditions JC Lattès- le dernier ouvrage de Garry Kasparov intitulé “La vie est une partie d’échecs“. Il s’agit grosso modo d’un manuel de survie en milieu urbain. Tactique, stratégie, manipulation, prise de décision, improvisation, pression psychologique, talent et confiance en soi … tout y est pour un joueur d’échecs de sa trempe ! Garry Kasparov, 44 ans, champion d’URSS junior à 13 ans, plus jeune champion du monde à 22 ans s’est retiré de la compétition voilà deux ans pour faire de la politique. Mais comme aux échecs, il n’a de cesse de chercher le gain. Aujourd’hui, il s’est mis en tête de mater Vladimir Poutine aux prochaines élections présidentielles de Russie en 2008. Comment va-t-il jouer cette nouvelle partie ? A découvrir d’urgence dans son livre !

Garry Kasparov, ancien champion du Monde d’échecs – (Photo Chessbase) Scoop: L’ancien champion du monde d’échecs, Garry Kasparov, vient de donner une interview exclusive au journal Le Figaro, interview publiée aujourd’hui. Le champion avoue regretter d’avoir suivi son adversaire anglais Nigel Short dans sa proposition de claquer la porte de la Fédération Internationale d’Echecs (FIDE). En effet en 1993, en conflit avec la Fide, il décide de disputer son match sous les auspices de la PCA, une nouvelle association censée représenter les joueurs d’échecs professionnels. Au bout de trois ans, faute d’appuis et de solidarité entre joueurs, la PCA dissidente est moribonde. Les tentatives de réconciliation avec la FIDE échoueront. Garry Kasparov avoue aujourd’hui avoir fait un mauvais choix en 1993. Certes, un champion d’échecs est un stratège mais reste également un homme avec ses faiblesses. Aujourd’hui, Garry Kasparov mène un nouveau combat politique contre Poutine. C’est en essayant qu’on…

(Photo Chessbase) – Cette semaine, il s’agit de reconnaître un fan de Gary Kasparov … Comment s’appelle le jeune Grand Maître International d’échecs qui pose sur cette photo avec Gary ? Natalia attend vos propositions ICI jusqu’à Samedi. Et bien sûr, continuez à faire connaître Chess & Strategy auprès de vos amis, amoureux du cinéma, de la musique et de la littérature. Merci à vous, chers lecteurs, toujours plus nombreux !

(Photo Euronews) – Gary Kasparov, l’ancien champion du monde d’échecs reconverti en homme politique, a demandé hier au Parlement Européen de tout faire pour promouvoir une élection présidentielle démocratique en Russie en 2008. Kasparov a averti l’Europe qu’une crise politique larvée s’installait en Russie à l’intérieur même du camp de Vladimir Poutine pour sa succession au fauteuil de Président. “Nous ne voulons pas être considérés comme ceux qui demanderaient d’isoler la Russie pour les méfaits du Président Poutine et de son régime. Mais nous croyons que l’Europe, le monde libre, doit toujours se battre pour la démocratie, pour l’application des lois et en faveur des droits de l’Homme” a déclaré Kasparov. Le Président du Parlement Européen, Hans-Gert Pöttering, a exprimé son admiration pour l’un des grands leaders politique Russe de l’opposition: “Nous ne sommes contre personne en particulier. Nous avons une approche positive. Nous sommes en faveur de la démocratie,…

(Photo — MosNews archive) – Plusieurs opposants et journalistes ont été interpellés à Samara, la ville qui accueille, jeudi et vendredi, le sommet entre la Russie et l’Union européenne. Les autorités municipales ont autorisé une manifestation des opposants au régime de Vladimir Poutine, regroupés sous la bannière de l’Autre Russie, prévue aujourd’hui. Ce qui n’a pas empêché la police d’arrêter dimanche plusieurs personnes qui distribuaient dans la rue des appels à manifester. Parmi eux, Anastasia Kurt-Adjiyeva, 20 ans, détenue quelques heures. Elle a déclaré hier que six personnes étaient encore en détention provisoire. Le père de cette « sympathisante de l’Autre Russie », le mouvement mené par l’ancien champion d’échecs Garry Kasparov, est le rédacteur en chef de l’édition locale du journal Novaïa Gazeta. Il a aussi été interpellé. Deux ordinateurs de la rédaction ont été saisis. Officiellement, cela n’avait rien à voir avec la manifestation prévue : il s’agirait…

(Photo — MosNews archive) – Les ministres des Affaires étrangères et de la Défense des 27 Etats membres se sont réunis, hier, à Bruxelles, pour préparer le sommet de l’Union Européenne avec la Russie qui se tiendra les 17 et 18 mai prochains à Samara. Alors que les contentieux se multiplient de part et d’autre, la secrétaire d’Etat américaine Condoleezza Rice est arrivée, lundi après-midi, à Moscou dans un climat tendu. Le Kremlin accuse Washington de «déstabiliser» le monde avec sa vision «unipolaire» et de vouloir relancer la course aux armements avec son projet de bouclier antimissiles. A Samara, les dirigeants européens devraient redire au président Poutine leurs préoccupations face à la détérioration des droits de l’homme en Russie, en évoquant notamment la répression, en avril, de manifestations d’opposants au Kremlin. Les représentants de l’UE pourraient avoir l’occasion d’assister en direct à une action de ces opposants, puisque l’opposition russe…