Chessboxing. Élise Jolivet, ingénieure et pionnière d’un sport hybride entre échecs et boxe

Élise Jolivet, ingénieure mécanique à Nantes, est un atout dans le monde du chessboxing, un sport qui incarne parfaitement le concept de chessboxing entre échecs et boxe. Ce sport singulier mêle stratégie des échecs et intensité de la boxe. Elle se prépare mentalement et physiquement pour les championnats du monde. Élise incarne une nouvelle génération de chess-boxeuses. Entrez dans un monde où la réflexion et la force travaillent ensemble. Elise affiche un classement Elo de 1531 points.

Chessboxing entre échecs et boxe

Élise Jolivet, ingénieure mécanique à Nantes, est un atout dans le monde du chessboxing, ce sport singulier mêlant stratégie des échecs et intensité de la boxe.

En réalité, le chessboxing, discipline encore assez peu connue, mélange rounds d’échecs et de boxe. Il alterne trois minutes de réflexion sur l’échiquier et trois minutes de combat sur le ring, illustrant la combinaison parfaite entre échecs et boxe.

Jolivet, jeune ingénieure mécanique située à Nantes, est l’une des figures les plus importantes de ce sport entre échecs et boxe.

« Alors on commence par un round d’échecs, et au bout de 3 minutes, c’est parti pour 3 minutes de boxe. Passer de la boxe aux échecs, c’est on enlève les gants, on se rappelle de la position. On s’assoit, on reprend son souffle aussi », explique-t-elle, démontrant le lien étroit entre stratégie et force dans le chessboxing.

Il faut reconnaître que la discipline consiste à maîtriser son souffle et à passer d’une concentration extrême à une explosion d’énergie physique, illustrant ainsi le chessboxing entre échecs et boxe.

Le souffle est extrêmement important. Je pense que cette transition est à travailler pour le chessboxing surtout.sport, Enen ce qui concerne les échecs et la boxe, il faut savoir se mettre dans le mental, ou bien je vais taper mon adversaire. Je vais me protéger. Allez-nous. Allez on remet les gants ».

Chessboxing entre échecs et boxe : 3 manières de perdre, une infinité de façons de se dépasser

Le chessboxing entre échecs et boxe a ses propres règles : « Perdre au chessboxing, ça se passe de trois façons. »  On peut être mis échec et mat aux échecs. On peut être KO à la boxe. Ou aussi perdre si on a plus de temps à la pendule, on joue également avec un capital temps.

Chessboxing entre échecs et boxe

Kenza Megzari (à gauche) bloque un coup de poing de l'Indienne Sneha Waykar lors de leur match aux Championnats du monde de chessboxing en Italie.

Cette diversité des résultats impose aux pratiquants une rare polyvalence, où la maîtrise de soi et la gestion du stress deviennent les facteurs déterminants. Donc, Élise, qui se définit à l’origine comme « une coureuse du dimanche » peu passionnée par les sports de combat, a découvert lece chessboxingsport entre échecs et boxe quasiment par hasard.

« Je suis quand même allée à un des cours d’Antoine, et à vrai dire ça m’a bien plu ».

Un parcours atypique, une passion révélée pour le Chessboxing entre échecs et boxe

En fait, Élise, une ingénieure mécanique dans l’aéronautique, trouve dans le chessboxing entre échecs et boxe un équilibre entre l’éducation et le dépassement physique.

« Je dirais que ce sport m’apporte beaucoup parce qu’il me permet de rester focus et savoir s’adapter ».

En réalité, elle apprend aussi l’origine du sport à partir d’une bande dessinée d’Enki Bilal. « Je ne savais pas que c’était à l’origine une bande dessinée, et en fait mon pote m’en a parlé. J’ai adoré la bande dessinée d’Enki Bilal ».

Chessboxing entre échecs et boxe

Au fil des entraînements, la peur des coups laisse place à l’adrénaline et à la confiance.

« C’est vrai qu’au début je fermais les yeux quand je me prenais des coups. Et puis j’avais peur d’en donner aussi parce que je ne suis pas de nature violente, etc. Et puis après, petit à petit, ça vient au fil du temps. C’est vachement dynamisant, et ça fait monter l’adrénaline aussi ».

Un objectif de titre mondial au chessboxing et un mental de championne

Élise appartient à une génération de chessboxeuses qui ont commencé à jouer les deux sports en même temps, explorant le chessboxing entre échecs et boxe. Je suis désormais les championnats du monde, déterminée à repousser ses limites.

Du coup, je dirais que la position n’est pas en ma faveur, mais il faut bien redescendre son rythme cardiaque pour réoxygéner le cerveau.

En fait, pour elle, la clé du succès est la capacité à être « extrêmement agressif. Il faut être stratège et tactique à la fois ». Je pense que cela m’a beaucoup aidé, surtout au niveau mental. Savoir se dépasser avec les échecs et la boxe est très enrichissant, intellectuellement et sportivement ».

L’article complet sur France 3 Pays de Loire sous la plume experte de David Jouillat

Abonnez-vous à ChessTips pour rester informé de l’actualité des tournois d’échecs → https://chesstips.fr

Pour apprendre à jouer et progresser, consultez notre catalogue de packs vidéos pour découvrir des cours d’échecs en vidéo et améliorer votre niveau.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *