Vidéo. Je vous souhaite une bonne année avec beaucoup d’échecs

 

❤️ « Je vous souhaite une bonne année avec beaucoup d’échecs. » dixit Thierry Marx, le chef cuisinier ★★★ qui force notre respect !

Un témoignage authentique et inspirant. Il a surmonté l’échec scolaire et la faillite de son entreprise avant de devenir le chef que l’on connaît aujourd’hui. Voilà comment Thierry Marx a fait de ses échecs un succès, et pourquoi il est important d’échouer.

Voilà comment Thierry Marx a fait de ses échecs un succès, et pourquoi il est important d'échouer

Comment Thierry Marx a fait de ses échecs un succès, et pourquoi il est important d’échouer – Capture vidéo Brut

La devise de son grand-père, revenu de la guerre de 14-18

« Rien n’est grave dans la vie, il n’y a que la mort qui est irréversible. » Ce sont les mots que le grand-père de Thierry Marx lui a longtemps transmis. Grâce à ces paroles bienveillantes, le chef cuisinier a appris à relativiser, notamment face aux échecs. « Quand la vie frappait fort, que les notes étaient pas bonnes, que j’étais exclu de telle ou telle chose, je me disais c’est pas grave, je ne suis pas mort », raconte Thierry Marx.

Un parcours semé d’échecs

Chef cuisinier reconnu aujourd’hui et chef d’entreprise, Thierry Marx n’a pas eu un parcours sans embûches. « Il a fallu d’abord travailler beaucoup », confie-t-il. Dans un premier temps, il a dû se défaire de ses échecs scolaires et retrouver sa confiance en lui. « Dans le sport, j’ai trouvé un cadre éducationnel qui m’a fait prendre confiance en moi et qui m’a mis en situation de comprendre mes échecs », précise le chef d’entreprise.

En 1998, Thierry Marx a aussi dû affronter la faillite de sa première entreprise. « J’ai obtenu une étoile au guide Michelin mais économiquement j’ai pas tenu. » Un échec qui l’a ensuite poussé à apprendre les techniques du management, de la comptabilité et de la stratégie d’entreprise. Ajoutées à son audace et à sa cuisine hors du commun, il a su faire parler de lui et sa deuxième entreprise a été un succès. « Il n’y a pas à condamner l’échec », assure Thierry Marx.

Pour en savoir plus : Lire l’article de Brut

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