PRESENTATION DE MONSIEUR FRANCOIS GALAN SUR NOTRE LISTE ÉCHECS & STRATÉGIE POUR LES ÉLECTIONS FFE 2016
Après l’annonce officielle de ma candidature à la présidence de la Fédération Française des Échecs, puis de notre programme, je reviens vers vous pour vous présenter les 30 personnalités talentueuses qui composent notre liste Échecs & Stratégie que j’ai l’honneur de conduire.
Monsieur François Galan, cadre chez ADP et joueur (2068 Fide) au Club d’échecs de Gorges – Clisson.
Ligue Pays de Loire
J’ai le plaisir de compter dans notre liste sur François Galan, qui est est un ami de longue date puisque nous avons joué à 18 ans pour le même club, Romainville en Seine-Saint-Denis, dans le 9-3 comme on dit. François a accepté avec enthousiasme lorsque je lui ai proposé de venir sur ma liste Échecs & Stratégie.
Né le 6 octobre 1964 à Paris, le même jour que Levon Aronian mais pas la même année, François est tombé très vite dans la passion du jeu de stratégie.
Attaché à jouer en équipe, il est devenu depuis 5 ans le capitaine de l’équipe première de son club d’échecs de Gorges qui évolue en Nationale IV.
Je retrouve au sein de sa candidature, ses valeurs d’intégrité et d’efficacité que nous avons toujours partagées à nos débuts au club de Romainville et dont nous avons tant besoin aujourd’hui à la Fédération Française des Échecs pour construire l’avenir.
Pour en savoir plus : La liste Échecs & Stratégie
FRANCOIS GALAN DE NOTRE LISTE ÉCHECS & STRATÉGIE POUR UNE FÉDÉRATION FRANÇAISE DES ÉCHECS NOUVELLE ET MODERNE
François Galan, toujours très concentré en tournoi.
Présentation de François Galan
Ma rencontre avec le jeu d’échecs
J’ai appris à jouer aux échecs à l’âge de 7 ans avec mon père Jacques, qui a travaillé dans la publicité et pour les studios Goscinny en tant que dessinateur animateur. Ma mère, Josette, était fonctionnaire à la mairie de Bagnolet. Mes premières parties furent avec mon père, puis avec mon frère, Paul, de 9 ans mon aîné, et qui parfois quittait la partie furieux en disant que j’avais gagné.
J’apprenais donc qu’on pouvait gagner, ou perdre, sans nécessairement maté, ou être maté, par son adversaire ! Je jouais aussi avec mes oncles, dont l’un m’a appris le coup du berger, et d’ailleurs, il me l’a fait plusieurs fois avant que je comprenne. A cette époque, on ne parlait que d’un joueur américain aussi génial que caractériel, et qui ridiculisait la patrie soviétique, ses joueurs et ses écoles.
Petit à petit, je me suis intéressé au jeu d’échecs en lisant les quotidiens qui publiaient dans les années 80 chaque semaine des diagrammes, puis en rejouant les parties entre grands-maîtres sur un échiquier. Enfin, le souhait d’avoir un ordinateur pour Noël : le Chess Challenger 7 qui, évidemment, fait figure de dinosaure cybernétique mais sera mon premier professeur.
J’étais accro au jeu au grand dam de mes parents, la rencontre ensuite avec un camarade de classe qui jouait dans un club m’a définitivement projeté dans l’univers des cases noires et blanches pour la vie.
Ma situation familiale
Bien des années plus tard, le virus est toujours bien présent. Je me suis marié en 2004 avec Christine, cadre Infirmière à l’institut de formation des soins infirmiers. Nous avons 2 fils, l’aîné, Arthur, passe en classe de 3ème et est plus intéressé par les jeux vidéo que par 32 pièces en buis qui se battent sur 64 cases. Le cadet, Victor, est en institut médico-éducatif à Saint-Brévin, porteur d’une anomalie chromosomique orpheline.
Je suis le seul de la famille à être passionné par les échecs. Cela n’empêche pas ma femme et mes enfants de suivre mes résultats, bons ou mauvais, dans un tournoi, d’être heureux quand je gagne, de se désoler quand je perds et de rester neutre lorsque je fais une nulle, encore que ça dépend aussi du niveau de mon adversaire.
Mon parcours professionnel
Au départ, j’ai exercé plusieurs petits boulots durant mes années d’étudiant à Paris. Malgré mon DEA de Physiopathologie, où je fus chargé de mettre au point un diagnostic génétique de la pneumocystose chez des patients immunodéprimés, j’ai du gagner ma vie en faisant mon trou dans des enquêtes médicales en Free-lance auprès de médecins généralistes et hospitaliers. Je ne roulais pas sur l’or, mais gagnais suffisamment pour manger et jouer aux échecs quand je voulais.
Je suis finalement entré à ADP en Juillet 2000 après une formation en informatique. ADP, acronyme en anglais pour Automatic Data Processing, est une SSII chargée de développer des solutions informatiques au service des ressources humaines. Mon poste, analyste de production, consiste à mettre ne place les statistiques d’activité de ma société. Aujourd’hui, je suis chargé avec un collègue à Grenoble de réaliser les statistiques d’activité.
En clair, lorsqu’un responsable met 2 jours pour faire un (gros) fichier Excel ou un rapport sous PowerPoint, je dois développer un programme informatique qui doit le faire, en moins de 15 minutes, pendule à l’appui !
Mon parcours échiquéen
En 1980, j’ai rencontré Philippe DORNBUSCH au club de Romainville (93), un club d’échecs qui n’a jamais dérogé à la règle de jouer pour le plaisir, pour se détendre et nouer des liens. Ceci m’a fortement motivé par la suite à continuer. Mon classement Elo oscille entre 2000 et 2100 depuis bientôt 20 ans. Durant mes années de tournois, il y a eu des victoires indélébiles, des défaites à se jeter par la fenêtre, et même du rez-de-chaussée !
Je retiens aussi des tournois inoubliables comme celui de CAÏSSA organisé pendant les vacances de Noël par Mme CHAUDE DE SILANS et sa gentillesse éternelle, le championnat de Paris avec ces rondes le soir, le tournoi de Montpellier en 1985 avec en parallèle le tournoi des candidats où participaient Boris Spassky, Alexandre Beliavsky, Victor Kortchnoï, Mickael Tahl, Arthur Youssoupov, ou encore Jan Timman.
Je suis maintenant plus attaché à jouer en équipe en Nationale. Et en déménageant en Pays-de-Loire, je me suis finalement posé au club de Gorges, située sur la Sèvre nantaise, au pays des vignes du muscadet, à quatre kilomètres au nord-ouest de Clisson et vingt kilomètres au sud-est de Nantes. Je suis devenu depuis 5 ans capitaine de l’équipe1 qui évolue maintenant en Nationale IV.
Mon engagement pour la fédération française des échecs !
Les échecs sont un jeu mais aussi un sport. De ce fait, je suis très attaché au respect de l’adversaire après la partie et ce quel que soit le résultat. Je m’efforce donc de ne pas paraître supérieur à lui lorsque je gagne, et le félicite toujours lorsque je perds.
Cette année, je souhaite remettre aussi sur pied le tournoi de Gorges le 8 & 9 juillet 2017, le temps d’un week-end et en serais l’organisateur avec un autre membre de notre club.
Je suis candidat sur la liste de Philippe DORNBUSCH que je soutiens sans réserve aucune. L’immense travail de Philippe pour notre jeu, notre passion, la qualité de son site Échecs & Stratégie et sa reconnaissance dans tout l’hexagone, font de lui un acteur incontournable dans le développement des échecs. Marié à une grand-maître ukrainienne, Philippe est aussi ouvert à l’international.
NOUS OUVRONS LE DIALOGUE AVEC LES CLUBS… A VOUS DE JOUER!
J’appelle les joueuses et les joueurs d’échecs, les présidentes et présidents de clubs, les membres des comités départementaux et des ligues régionales à soutenir ma liste « Echecs & Stratégie » pour un vrai changement de cap avec une Fédération Française nouvelle et moderne.
Pour cela écrivez-moi directement à l’adresse « ÉCHECS & STRATÉGIE »
En toute transparence, je posterai régulièrement des nouvelles de la campagne. Je vous donne donc rendez-vous très vite pour un nouveau point d’avancement en vidéo.
A très bientôt !
Très cordialement,
Philippe Dornbusch, Directeur du site Échecs & Stratégie et Candidat à l’élection FFE 2016 avec la liste « ÉCHECS & STRATÉGIE »
